Ah! dis-je, le bonheur est dans la nature
N’y a t-il pas plus beau que le vol de l’oiseau ?
Et les jeux des poissons nageant au fond de l’eau ?
Les cris des oisillons sous la verte ramure ?
La mer déployant sa plus belle parure ?
Et le chant du ruisseau parmi les longs roseaux ?
Cette sérénité n’est-elle dans ces tableaux
Qu’un frère du bonheur, né de la nature.
Le bonheur n’est-il pas près de ceux qu’on aime ?
Et les paroles pour l’exprimer seraient vaines
Car il y réside tellement de beauté
Que d’émotion nos yeux s’embrument de larmes
Que guerres, haine, jalousie et cruauté
Soient devant telle force, à jamais sans armes.
1968 (Année scolaire de poésie en Belgique. Celle qui précède le bac en France)
Merci à toi pour le mot apaisant. C’est agréable la paix 🙂
Apaisant aussi;-)
J’ai retrouvé cela dans mon « grenier » 🙂
A cette époque « lointaine » lol, la nature je l’aimais déjà autant. En faire un exercice de vers et de pieds, toute une histoire.
Ce poème est naïf, je le sais, mais il m’est cher et me rappelle de bons souvenirs créatifs 🙂
La Nature nous rappelle que nous ne sommes pas seuls mais bien aussi hôtes et même Enfants même si nous ne sommes pas très « polis » avec Mère Nature )))-: Vive la Poésie!! (((-: