Afin de présenter cet instrument j’invite à suivre le lien suivant pour en connaître l’origine ainsi que d’autres informations musicales
Ce qu’il faut savoir pour ce qui concerne cet instrument en Roumanie, c’est qu’il a failli disparaître.
Du temps de Ceausescu, il était interdit dans les villages et ailleurs que cette musique soit jouée et tout utilisation de cet instrument le faisait être confisqué et ensuite brûlé. Ainsi beaucoup disparurent durant cette période si troublée dans ce pays.
Toutefois le peuple Roumain rural, aimant sa musique et sa culture traditionnelle refusa pour certains de s’y soumettre et en cachèrent comme ils l’ont pu sous terre, bien enveloppés ou d’autres endroits connus par eux. C’est ainsi que la tradition orale de ces musiques et de cet instrument purent être sauvé.
Dimitru Farcas en Roumanie en est une représentation emblématique dans son pays. Je le sais, car lors de mes stages de danses folkloriques dont celles axées sur la Roumanie et qui duraient tout un week-end, j’ai pu apprendre non seulement cette belle musique, mais aussi cet instrument en recevant après les cours de danse, un de ces morceaux sur cassette audio. Celui que je possède je ne l’ai pas retrouvé. Et je ne sais comment faire pour le partager via mon pc depuis ma cassette audio. Et j’en ai de ces musiques traditionnelles de là-bas.
Des chants également appris par coeur par moi comme les chants Hongrois. Mais ceci est une autre histoire.
Je ne connaissais pas non plus cet instrument merci d’avoir partagé ces vidéos . Cela doit être très intéressant de se plonger dans les cultures des autres pays par le biais de la musique et de la danse .
Bonne soirée
Bisous
très belle musique et très belles vidéos aussi. Merci Filamots. Retournes-tu de temps à autre en Roumanie ? Amitiés à toi et belles fêtes de fin d’année. Solange
Je ne connaissais pas cet instrument, heureusement qu’il n’a pas disparu.
Ceausescu n’avait pas pensé dans sa grande bêtise que tout ce que tu interdis résiste mieux que le reste, c’est une façon de se révolter que de garder ses traditions.
Bises
Bonjour Claudie,
Moi non plus je ne le connaissais avant de commencer dans les 1980 à faire ce genre de folklore des pays de l’Est. C’est un chorégraphe Néerlandais qui, lors d’un de mes stages dans les environs de Bruxelles nous l’a appris. Ainsi que peut être un autre moniteur dont j’ai des tas de tonnes d’informations. Je vais d’ailleurs lui envoyer cet article pour lui demander son avis quant à son exactitude.
Bisous