Le cheval de guerre de Steven Spielberg.
Synopsis
Cheval de Guerre est un film américain de Steven Spielberg sorti à la fin de l’année 2011 aux États-Unis. Adaptation du roman War Horse de Michael Morpurgo, elle-même basée sur son propre livre pour enfants Cheval de guerre publié en 1982 en Grande-Bretagne.
Ce film rend notamment hommage aux huit millions de chevaux sacrifiés durant la Première Guerre mondiale.
Le jeune Albert est très proche de son cheval Joey. Ses parents sont fiers qu’il ait réussi à débourrer ce jeune cheval acheté par son père, qui était censé ramener un cheval de trait pour labourer son champ. Dès son arrivée à la ferme, Albert reconnaît ce poulain qui est né dans un pré au dessus du village. Mais en ces temps de Première Guerre mondiale, l’animal est vendu à la cavalerie britannique et envoyé au front, il passe donc du champ de labour au champ de bataille. Joey vit une aventure atypique, côtoyant des soldats au front, il découvre l’horreur de la guerre, avant d’être capturé par les Forces Allemandes, pour être utilisé dans des combats. Durant son périple, Joey ne laisse personne indifférent, car, de par sa présence et son comportement, il donne espoir aux soldats qui l’entourent. Albert, étant trop jeune pour s’engager, décide malgré tout de se lancer dans une mission pour sauver son cheval, et le ramener auprès de lui…
Sources : Wikipedia
Mon avis.
J’ai regardé ce film le 25 mai dernier. Emouvant, époustouflant, humain. J’ignorais qui en était le réalisateur. Une petite recherche après en avoir regardé le début un peu au hasard. Je tapote sur mon Ipad. Le film m’intéresse, et je lis qu’il s’agit de Spielberg. Là je me rends compte du pourquoi et du comment. De la force des images. La suite me prouvera et me démontrera que j’y ai retrouvé toute cette âme d’enfant qu’il égrène au gré de sa filmographie. Ce film m’a beaucoup fait penser à « A l’empire du soleil » que j’ai déjà vu et revu. Avec toujours ce même plaisir.
Dans celui-ci pour ceux qui adorent les chevaux âmes sensibles s’abstenir, tant il « humanise » l’animal. Comme à son habitude, il crée des scènes chocs, effrayantes. Pendant la guerre 14-18 dans la Baie de la Somme, mon estomac s’est contracté…..je dois vieillir….pfff….. il est malin le bougre et joue avec le spectateur avec succès et délivre en même temps son message anti-militariste. Il y ajoute un clin d’oeil à cette fameuse nuit de Noël où Français et Allemands se sont rejoints. Traité d’une autre manière et nous disant comme la guerre est absurde. Un grand hommage aux liens que peuvent entretenir l’homme et le cheval.
j’ai toujours admiré Spielberg, c’est un génie pour moi ! Bises
Je n’ai jamais pu le regarder, trop de souffrance a voir certaines scenes !!! bisous
Merci pour le partage qui donne goût de voir le film Geneviève !
Bonne poursuite de ce mercredi à toi,
Bisous.
Pas vu mais ça donne envie de le voir.
Bises
J’ai moi aussi beaucoup aimé ce film , des images époustouflantes et une vision que j’apprécie particulièrement des rapports entre ‘homme et l’animal. .
Bravo pour ce billet Geneviève
Bonne journée
Bisous