
Illustration
Le Ruisseau
Il court court, sans s’arrêter,
Traversant monts et vallées
Passant par villes et contrées.
…
Les oiseaux de leurs gazouillis
Allègent sa course dans les taillis,
Tandis que courlis et colibris
Viennent s’y désaltérer sans répit.
…
Si par malheur un obstacle surgit,
Il le surmonte sans cri
Et continue sa course infinie
Parmi les fleurs et les bêtes ravies
Ne craignant ni le jour, ni la nuit.
© freesia Années 1960 – 1970
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Publié par filamots le 16 février 2011 dans Poésie et tagué betes, colibris, contrees, courir, courlis, desalterer, fleurs, jour, nuit, oiseaux, ruisseau, taillis, traverser, villes.
À propos de filamots
Sur le fil des mots. Je rassemble pour mes enfants, les textes anciens et nouveaux ainsi que futurs que je dépose sur ce blog.
L'occasion pour moi de faire de belles rencontres virtuelles, et de m'améliorer dans l'écriture de quelques nouvelles lorsque l'inspiration est au rendez-vous. Je partage aussi ma passion pour la photographie en tant qu'amateur. Je suis autodidacte en informatique, lecture, musique, etc....
Je remonte cet article, un des plus visités. Pourquoi ? je l’ignore. 🙂
Le poème est de moi, et d’il y a si longtemps !! 😀
Jolie poésie!
ne craignant ni le jour ni la nuit
et voyage sans quitter son lit!!
Bonsoir Koquin,
Ces poèmes de jeunesse pourraient être entièrement transformés actuellement.
C’est volontairement que je n’en change aucune ligne 🙂
Le rajout de la phrase est belle et très poétique 🙂
Merci pour ton passage.
Amitiés.
Geneviève
Bonsoir Jean-Baptiste,
Voilà quelques beaux vers qui viennent de ta plume et évoquent le même thème.
J’aime la fontaine de jouvence…..voyager sur la rivière encore navigable.
Ah oui ! voyageons encore tant que nous le pouvons.
Merci pour ton passage, cela me touche. Zéphyr est notre lien intermédiaire.
A très bientôt poète, qui écrit de si beaux poèmes. J’ai déjà eu envie de rebloguer chez moi de tes poèmes, mais cette fonction est hors service temporairement chez WordPress et ils ne savent pas encore quand ce sera rétabli ou amélioré. J’attends avec impatience, car c’est une fonction que j’aime beaucoup.
Amitiés poétiques.
Texte frais et léger.
Le ruisseau coule
Il faut s’y baigner
Avant qu’il ne s’assèche
Il faut boire
A la source du bonheur
A la fontaine de jouvence
Avant qu’elles ne tarissent
Il faut voyager
Sur la rivière encore navigable. 24.03.1986
Une bien jolie photo et un beau poème. J’aime la nature, il n’y a rien de tel pour se détendre et évacuer le stress accumulé tout au long de la semaine. Merci pour ce partage et à bientôt.
J’aime les ruisseaux, ainsi que leurs abords. 🙂 les fleurs sauvages qui les bordent, ainsi que la nombreuse variété de diverses plantes aquatiques, les grenouilles, les poissons qui font des bulles sous l’eau 🙂
Superbe ce petit ruisseau….merci pour ton petit mot !
Merci pour ton passage Sophie, tes photos sont si belles 🙂
C’est beau un ruisseau !
Il ne manque que ce son mélodieux pour que cela soit parfait !
Je ne sais pas si le lien va fonctionner voici quelques murmures
Cela fonctionne ! Génial !
Bonsoir Oth, j’ai été étonnée moi-même, en faisant simplement un copier-coller de l’adresse url, j’ai eu ce résultat là, contre toute attente 🙂
Contente pour toi. A bientôt…je prépare un article ….surprise 😉
Ah,ce que j’aime la nature et ton petit ruisseau qui se faufile entre verdure et feuillages,à l’infini.Il est le calme et la quiétude,il est la source qui ravit et désaltère toute vie.On sent le printemps qui arrive et c’est tant mieux,tout va revivre.
Gros bisous d’Harmony.
Et oui Harmony, le soleil en ce moment qui pointe quelques rayons est un peu annonciateur de ce printemps tant attendu avec les scintillements dans l’eau de ce ruisseau. 🙂
Tel une Onde de Mère ,
Il s’écoule plein de Vies ,
Sur les Rives du Vent ,
En eau Claire et Vive ,
D’une Source Aurifère ,
Il Mélange vers Autrui ,
Des Sillages d’Océans ,
Nés d’une Goutte de Pluie ,
Ses Méandres des Rives ,
Tout un Monde en Versants ,
Envers Sels de Mers ,
Qui l’attende Hors du Temps.
NéO~
Et ce ruisseau se glisse entre tous ces arbres dont tu fais tellement les éloges. Il serpente, creuse son sillon, se cogne contre les rochers.
Cela me fait penser à la chanson : La source 🙂